« J’ai visité quatre fois cette carrière souterraine. C’est une carrière de pierre à ciment. L’entrée est surprenante : elle se situe dans une enceinte, au cœur même d’une grande métropole. À vue d’œil, personne ne pourrait imaginer que de telles galeries s’enfoncent aux portes de la ville. Pourtant, une fois passée cette porte métallique, un travers-banc s’enfonce profondément. ».
Description personnelle
J’ai visité cette carrière en plusieurs fois. En réalité, cette affirmation est inexacte : je n’ai jamais pu en faire complètement le tour. Même si je suis allé aussi loin que possible, mes recherches m’ont laissé penser que je n’en ai exploré qu’une infime partie. Lors de mes retours sur place, j’ai découvert des zones inconnues, emprunté des boyaux étroits permettant de monter sur plusieurs niveaux.
Le travers banc principale est relativement bien préservé jusqu’aux bout. C’est un quartier
La montagne est en effet truffée de galeries superposées, du bas jusqu’au sommet. C’est donc un véritable gruyère qui se cache là.
On peut mettre en parallèle ce creusement souterrain avec la ville : une ville inversée, secrète, creusée face à la ville construite, habitée et connue.
Descriptif technique et historique
en cherchant de la documentation je peux donc vos fournir quelques chiffres :
c’est plus de 400 kilomètres de galeries qui s’enfoncents dans la montagne









